Gattung:
Buch
Autor/Herausgeber:
Peter Wunderli (éd.)
 
Normierte Form: Wunderli, Peter [Peter Wunderli]
Titel:
Le Nouveau Testament occitan de Paris (Ms. BN fr. 2425) : Vol. 1: Introduction et édition critique/Vol. 2: Analyse de la langue, Lexique et Index des noms

Normierte Form:

Reihe:
Romanica Helvetica
Band:
136
Erscheinungsjahr:
2016
Erscheinungsort:
Tübingen

Normierte Form: Tübingen

Verlag/Drucker:
A. Francke Verlag

Normierte Form: Francke, A. [A. Francke Verlag]

ISBN/ISSN:
978-3-7720-8574-1; online: 978-3-7720-5574-4
Seiten:
784 pp.
URL:
https://elibrary.narr.digital/book/99.125005/9783772055744
Schlagwörter:
Bibel. Neues Testament - Okzitanische Übersetzungen

Zusammenfassung/Kommentar:

 Cette édition du Nouveau Testament occitan de Paris (BN fr. 2425) consiste en deux volumes qui constituent ensemble le n° 136 des Romanica Helvetica. Le premier tome fournit une introduction détaillée et le texte occitan du Nouveau Testament dans la version parisienne, le deuxième contient une analyse approfondie de la langue du texte dans les domaines de la grapho-phonématique, de la morpho-syntaxe et des phénomènes transphrastiques, un Glossaire riche et copieux qui ouvre aussi des perspectives sur la lexicologie, ainsi qu’un Index des noms complet. Les traits caractéristiques de la présente traduction du Nouveau Testament remontent à la première moitié (éventuellement même au début) du 14e siècle; il y en a qui semblent provenir de la partie ouest du domaine occitan, mais ceux qui proviennent de la partie orientale dominent clairement. Préciser qu’il s’agit du Sud et même du Sud-Est de la Provence, comme ose le faire Paul Meyer, nous paraît trop risqué, voire impossible, car nous n’avons pas affaire à un dialecte, mais à une scripta qui reprend des éléments d’un peu partout de l’Occitanie et surtout de sa région orientale; même des éléments qui semblent renvoyer aux vallées vaudoises, voire à l’Italie septentrionale ne manquent pas. Probablement notre texte a derrière lui un assez long voyage qui n’a pas manqué de laisser des traces linguistiques de chaque station. En outre il faut tenir compte du fait que les copistes de l’époque reproduisant des textes importants n’ont normalement pas travailllé sur un seul manuscrit, mais ont puisé dans plusieurs modèles qu’ils ont exploités assez librement.